Toujours ce même constat, un peu partout dans les Balkans, en Roumanie, Grèce, Serbie ou Bulgarie. Des économies essoufflées, des Etats qui peinent à s’imposer, des habitants qui ont du mal à joindre les deux bouts, mais des églises toujours impeccables, comme neuves, que ce soit en ville ou dans le plus petit des villages. Nous sommes ici à Sibiu, en Transylvanie.